La plupart des primo-accédants ont au minimum 30 ans. Étant un cadre plus jeune, il est tout à fait possible d’envisager ce projet. Il n’existe pas de loi ou de réglementation particulière qui stipule qu’on ne peut pas devenir propriétaire à 20 ans. Toutefois, certaines contraintes sont à prendre en compte.
La souscription à un prêt immobilier
Dès qu’une personne a atteint la majorité, c’est-à-dire avoir au minimum 18 ans, celle-ci peut envisager l’acquisition d’un bien immobilier. Par ailleurs, en considérant que la majorité des achats immobiliers se font suite à la souscription à un crédit, les jeunes actifs ne sont pas souvent en position d’acheter leur bien avant la quarantaine. En effet, ces derniers ne disposent pas d’une épargne suffisante leur permettant de prétendre à un prêt immobilier. De même, le manque d’ancienneté dans un statut professionnel constitue un frein à l’obtention d’un crédit, en savoir plus.
Les prêts aidés pour les jeunes
Pour faciliter l’accès à la propriété aux jeunes, des prêts aidés sont mis en place. Il s’agit de crédits qui sont accordés suivant certaines conditions de ressources et qui complètent le capital de financement d’une résidence principale. Les jeunes acquéreurs peuvent avoir droit à un prêt taux à zéro, un prêt de collectivités locales, un prêt conventionné ou un crédit d’allocation familiale. Pour connaître la solution la mieux adaptée à sa situation, il est préférable de s’adresser à son conseiller bancaire. Il est également possible d’avoir recours à un courtier en crédit immobilier pour évaluer sa situation financière et trouver la meilleure solution de financement.
